Le mot d'Ariane
Le mot d'Ariane

Voici enfin notre nouveau site, fruit d’une longue collaboration entre notre amie éditrice, Anne Rideau, la jeune webdesigner Kacia Issaad - que nous remercions pour sa patience et son sérieux - et moi-même.

Nous l’avons voulu sans prétention mais facile d’accès et doté d’un vrai contenu : pas de « bling bling », mais une forme conviviale, des informations et du sens !

Pour être rapidement trouvé dans le foisonnement informatique, il s’appelle « Passerelles normandes », mais nous ne parlons jamais que de « Passerelles », ce nom choisi pour notre organisme, à Paris, il y a plus de douze ans et plus que jamais représentatif de ce que nous désirons proposer à travers nos événements désormais normands : des passerelles encore et toujours, entre les innombrables champs de la culture, les façons de vivre, et surtout entre les êtres humains si merveilleusement divers.

Bonne lecture à vous : pardonnez les coquilles sûrement encore tapies à droite ou à gauche ; prévenez-nous d’éventuelles erreurs qui nous auraient échappé ; n’hésitez pas à nous envoyer vos remarques si le cœur vous en dit : derrière l’écran, il y a des personnes !

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Nos publications Le droit d'aimer sans mesure
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Le droit d'aimer sans mesure

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Par Françoise Kleltz-Drapeau

Comment Albert Camus, apôtre de la mesure dans L'Homme révolté, peut-il également déclarer : « Je comprends ici ce que l'on appelle gloire, le droit d'aimer sans mesure » ? La somptueuse correspondance de l'écrivain avec Maria Casarès, la tragédienne qui fut la grande passion de sa vie, résout cette apparente contradiction en mettant à jour d'une manière nouvelle et lumineuse l'unité exceptionnelle de l'écrivain et de son œuvre.

Françoise Kleltz-Drapeau, docteur en philosophie, enseigne les pratiques universitaires de lecture à la Sorbonne Nouvelle et la relation entre la médecine et la philosophie à l’Espace Éthique, Hôpital Saint-Louis, Université Paris-Sud.

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Par Françoise Kleltz-Drapeau

Comment Albert Camus, apôtre de la mesure dans L'Homme révolté, peut-il également déclarer : « Je comprends ici ce que l'on appelle gloire, le droit d'aimer sans mesure » ? La somptueuse correspondance de l'écrivain avec Maria Casarès, la tragédienne qui fut la grande passion de sa vie, résout cette apparente contradiction en mettant à jour d'une manière nouvelle et lumineuse l'unité exceptionnelle de l'écrivain et de son œuvre.

Françoise Kleltz-Drapeau, docteur en philosophie, enseigne les pratiques universitaires de lecture à la Sorbonne Nouvelle et la relation entre la médecine et la philosophie à l’Espace Éthique, Hôpital Saint-Louis, Université Paris-Sud.

Par Françoise Kleltz-Drapeau

Comment Albert Camus, apôtre de la mesure dans L'Homme révolté, peut-il également déclarer : « Je comprends ici ce que l'on appelle gloire, le droit d'aimer sans mesure » ? La somptueuse correspondance de l'écrivain avec Maria Casarès, la tragédienne qui fut la grande passion de sa vie, résout cette apparente contradiction en mettant à jour d'une manière nouvelle et lumineuse l'unité exceptionnelle de l'écrivain et de son œuvre.

Françoise Kleltz-Drapeau, docteur en philosophie, enseigne les pratiques universitaires de lecture à la Sorbonne Nouvelle et la relation entre la médecine et la philosophie à l’Espace Éthique, Hôpital Saint-Louis, Université Paris-Sud.

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