Le mot d'Ariane
Le mot d'Ariane

Voici enfin notre nouveau site, fruit d’une longue collaboration entre notre amie éditrice, Anne Rideau, la jeune webdesigner Kacia Issaad - que nous remercions pour sa patience et son sérieux - et moi-même.

Nous l’avons voulu sans prétention mais facile d’accès et doté d’un vrai contenu : pas de « bling bling », mais une forme conviviale, des informations et du sens !

Pour être rapidement trouvé dans le foisonnement informatique, il s’appelle « Passerelles normandes », mais nous ne parlons jamais que de « Passerelles », ce nom choisi pour notre organisme, à Paris, il y a plus de douze ans et plus que jamais représentatif de ce que nous désirons proposer à travers nos événements désormais normands : des passerelles encore et toujours, entre les innombrables champs de la culture, les façons de vivre, et surtout entre les êtres humains si merveilleusement divers.

Bonne lecture à vous : pardonnez les coquilles sûrement encore tapies à droite ou à gauche ; prévenez-nous d’éventuelles erreurs qui nous auraient échappé ; n’hésitez pas à nous envoyer vos remarques si le cœur vous en dit : derrière l’écran, il y a des personnes !

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Nos publications Céline, l'art poétique dans Le Voyage
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Céline, l'art poétique dans Le Voyage

8,00 €

Par Marie-Anne Charbonnier

La seconde épigraphe de Voyage au bout de la nuit s‘achève sur ces mots énigmatiques : «(…) et puis d’abord tout le monde peut en faire autant. Il suffit de fermer les yeux. C’est de l’autre côté de la vie.» Alors que le roman est très avancé, une phrase semblable apparaît : «Du dedans et les yeux presque fermés.» Le rapprochement de ces deux phrases incite à lire le roman de Céline (1894-1961) moins comme on l’a longtemps considéré – comme un roman réaliste voire naturaliste – que comme le récit de la vision intérieure et hallucinée d’un homme descendu aux enfers de la Grande Guerre et qui n’en serait pas remonté. 

 

Marie-Anne Charbonnier, agrégée de lettres classiques, est professeur de chaire supérieure au lycée Henri-IV où elle a enseigné la littérature en classe de khâgne.

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Par Marie-Anne Charbonnier

La seconde épigraphe de Voyage au bout de la nuit s‘achève sur ces mots énigmatiques : «(…) et puis d’abord tout le monde peut en faire autant. Il suffit de fermer les yeux. C’est de l’autre côté de la vie.» Alors que le roman est très avancé, une phrase semblable apparaît : «Du dedans et les yeux presque fermés.» Le rapprochement de ces deux phrases incite à lire le roman de Céline (1894-1961) moins comme on l’a longtemps considéré – comme un roman réaliste voire naturaliste – que comme le récit de la vision intérieure et hallucinée d’un homme descendu aux enfers de la Grande Guerre et qui n’en serait pas remonté. 

 

Marie-Anne Charbonnier, agrégée de lettres classiques, est professeur de chaire supérieure au lycée Henri-IV où elle a enseigné la littérature en classe de khâgne.

Par Marie-Anne Charbonnier

La seconde épigraphe de Voyage au bout de la nuit s‘achève sur ces mots énigmatiques : «(…) et puis d’abord tout le monde peut en faire autant. Il suffit de fermer les yeux. C’est de l’autre côté de la vie.» Alors que le roman est très avancé, une phrase semblable apparaît : «Du dedans et les yeux presque fermés.» Le rapprochement de ces deux phrases incite à lire le roman de Céline (1894-1961) moins comme on l’a longtemps considéré – comme un roman réaliste voire naturaliste – que comme le récit de la vision intérieure et hallucinée d’un homme descendu aux enfers de la Grande Guerre et qui n’en serait pas remonté. 

 

Marie-Anne Charbonnier, agrégée de lettres classiques, est professeur de chaire supérieure au lycée Henri-IV où elle a enseigné la littérature en classe de khâgne.

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